Kelsey Whitefield
Avatar : Kristen Bell. ♥ Messages : 40 Date d'inscription : 01/06/2011 Age : 26 ans.
| Sujet: KELSEY ◮ cause all that you are is broken inside. Mer 1 Juin - 18:09 | |
| KELSEY WHITEFIELD | • Date de naissance : 18/03/85. • État civil : Mariée à un con. • Emploi : Serveuse au Jersey Mike's Subs. • Avatar: Kristen Bell KELSEY WHITEFIELD en quelques mots : vulgaire • violente • emmerdante • amusante • pas vraiment sociable • plutôt sensible (si on enlève la grosse carapace) • gentille (avec les gens qu'elle aime bien) • franche • crue • pessimiste • handicapée des sentiments • jalouse (elle n'aime pas qu'on touche à ce qui lui appartient, normal) • intelligente (même si ça ne se voit pas vraiment). |
QUE PENSEZ VOUS DE L'AMBIANCE DES RÉSIDENCES ? → Elle est bonne. Les gens sont relativement sympa, enfin ça dépend lesquels. Et je trouve les résidences juste parfaites, parce que techniquement, ça a fait un changement radical pour moi, comparé à la où j'habitais avant. POURQUOI AVOIR CHOISI LES STUDIOS AINSWORTH ? → En fait, c'est pas vraiment moi qui ai choisi. J'ai laissé Jerry choisir, parce que de toute façon, c'est lui qui paie les factures et personnellement, je m'en foutais, parce que dans tous les cas, ça ne pouvait qu'être mieux que ma précédente maison. Et pour une fois, même si je lui dirais pas, il a fait un assez bon choix. VOUS ÊTES PLUTÔT DEAN, KELLY OU MONROE ? → Grace Kelly. Alors, je sais pourquoi le débile et moi on a pris ça, quoi que ce soit pas vraiment moi, mais on est dans cette résidence-là et elle est plutôt bien. En plus, la piscine, le jacuzzi et le hammam, ça, c'est trop bon ! VOTRE VOISIN IDÉAL ? → Quelqu'un qui ne vient pas me gonfler n'importe quand. Quelqu'un qui ne pas tout le temps venir se plaindre à cause du bruit qu'on fait quand on se dispute, Monsieur Connard et moi. Cool en prime, ça serait pas de refus. Bref, quelqu'un de simple et pas emmerdant, c'est pas compliqué. ET LE TAPAGE NOCTURNE ? POUR OU CONTRE ? → Euh... En fait, je crois que j'en fais pas mal, le soir, quand je me fous à hurler sur Jerry. Alors je peux pas vraiment dire que je suis contre, mais si un voisin me réveille en plein milieu de la nuit, genre à 5h00 du matin en foutant la musique à fond, si c'est une fille, elle n'a plus de cheveux, si c'est un mec, il est eunuque. UN MOT POUR VOS NOUVEAUX VOISINS ? → Qu'ils évitent de me parler si c'est pour se plaindre, ou me gonfler, parce que sinon, on va pas s'entendre. Quoique, je suis pas réellement du genre à faire des scandales sur des gens que je connais pas, mais je ne me laisse jamais marcher sur les pieds, donc... Je serais sympa avec eux, s'ils sont sympa avec moi. C'est simple.
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KELSEY'S STORY « Bordel, Kelsey, pourquoi tu viens pas chez moi pendant quelques temps ? Je veux dire... faut pas que tu restes avec lui, ton père est complètement malade. Regardes l'état de ton bras. » C'est pas la première fois qu'on a cette conversation, Lenny et moi. En fait, ça doit être la quatrième fois en un seul mois. L'état de mon bras est plutôt bon, parce que ça aurait pu être largement pire. Je comprends pas tellement pourquoi mon père se détruit la santé comme il le fait. Pourquoi il boit autant. Pourquoi ce connard venge tous ses putains de malheurs à la con sur ma gueule, comme si j'y étais réellement pour quelque chose si c'est qu'un raté. Je pourrais me casser de chez moi, c'est vrai, mais je ferais quoi ensuite ? Je pourrais pas rester vivre chez elle indéfiniment et même en trouvant du travail, j'arriverai pas à avoir un appartement tout de suite et je compte certainement pas finir à la rue comme une clocharde. Donc, on en revient à la case départ, c'est-à-dire chez moi et pas ailleurs. « Dis-toi que ça aurait pu être pire. Et t'en fais pas pour moi, je trouverai une solution. » que je lui dis en souriant avec un semblant d'air rassurant et sûre de ce que j'avance. En fait, non, j'ai aucun putain de plan et je sais qu'elle le sait très bien, mais je sais aussi qu'elle va arrêter avec ce sujet, parce qu'elle sait combien ça m'enrage, même quand je ne dis rien. À ma place, elle ne saurait pas quoi faire non plus, à la différence qu'elle, peu importe ce qu'elle déciderait, elle aurait de l'argent. Parce que ouais, ma meilleure amie est riche, ce qui n'est pas le cas de tout le monde. Et je veux pas qu'elle m'aide en quoique ce soit, parce que c'est pas à ça qu'une meilleure amie doit servir. Pas chez moi en tout cas. Je sais que ça l'énerve que je sois aussi têtue, mais j'm'en fous. C'est comme ça et pas autrement. « Tu m'emmerdes, Kelsey, tu le sais ça ? Bon normalement, c'est bon pour ton bras. Mais fais attention quand même. » Je lui souris, voyant parfaitement ce qu'elle veut dire par là. Mais bon, c'est pas comme si je pouvais réellement faire quelque chose contre lui. Il fait deux fois ma taille, probablement trois fois mon poids. Je regarde mon bras et parfois, je me dis que c'est bien d'avoir une meilleure amie qui a pour ambition de devenir infirmière et qui pour se faire, passe ses journées à regarder des séries plus ou moins réalistes là-dessus. Puis bon, c'est pas la première fois que je reviens avec un truc quelque part. Tant que c'est pas au visage, je suppose que c'est pas si terrible. « Ouais, je le sais. Merci et je ferai attention, comme toujours, même si ça se révèle complètement inutile à chaque fois. Et je bouge. Je passe demain, okay ? » C'est pas vraiment une question, parce que je passe le plus clair de mon temps chez elle quand je ne suis pas entrain de rien foutre en cours.
Je suis allongée sur mon lit, entrain de maudire le monde entier, parce que mon père est vraiment qu'un pauvre con et que je sais pas ce que je vais faire. Normalement, j'ai des idées qui me viennent comme alternative ou solution, mais là, j'en ai aucune. Cet espèce de débile est en prison, parce qu'il a été arrêté par les flics après avoir agressé quelqu'un en plus de délit de fuite et pour couronner le tout, en était d'ébriété. Non, sérieusement, je crois qu'il a atteint le summum de la connerie, folie, débilité mentale profonde. Et même s'il était qu'on connard, c'est quand même lui qui payait les factures de la maison avec son job. Si seulement ma mère s'était pas cassé quand j'étais petite, parce qu'elle en avait marre de la gueule de mon père et surement de la mienne par la même occasion, puisqu'elle m'a pas pris dans ses bagages. Enfin bon, je m'en fous. Après tout, je m'en suis remise, parce que de toute façon, j'ai remarqué un truc : les membres de ma famille sont tous des cons, dépendamment de certains degrés. Je suppose que je me fonds dans la masse, mais quand même, je pense vraiment que je le suis moins. Je suis une fille relativement violente, je peux pas le nier, mais ça dépend contre qui. Par exemple, je suis anormalement gentille avec Lenny, surement parce que c'est une des rares personnes que j'arrive à supporter plus d'une journée. Parce que ouais, j'ai tendance à saturer vite des gens, surtout de certaines personnes qui me gonflent à force de trop parler ou de m'énerver que ce soit volontairement ou pas. Bref. J'en reviens à dire ce que je disais plus tôt : je sais pas ce que je vais faire. Je suis complètement foutue et je compte certainement pas aller voir mon père en taule, j'ai d'autres chats à fouetter et il mérite définitivement pas une visite de ma part. Ouais, j'ai vraiment d'autres trucs à penser. Parce que c'est pas en étant serveuse au bar pourri du coin que je vais pouvoir me faire un tas de fric.
« TA GUEULE ! Tu me fais chier ! Tes commentaires à deux balles, tu te les gardes et t'arrêtes de m'emmerder, sinon, je jure devant Dieu que je te castre avec une scie et c'est même pas une blague. » que je lui dis en gueulant, il me gonfle. J'arrive pas à le supporter, vraiment pas. Si je pouvais, je l'assassinerais sur place, seulement sans lui, je serais dans la merde. Puis alors que je pense que je suis mariée à un connard du style, ça me rend complètement folle de rage. Enfin, on est mariés, mais c'est uniquement sur les papiers et devant les gens, parce qu'intérieurement, je le supporte pas, ça sera jamais le cas et je compte l'emmerder jusqu'à ce que lui-même ne puisse plus me supporter ou voir ma tronche en peinture sans péter une crise. Alors ouais, c'est lui qui paye les factures, mais il a besoin de moi aussi, sinon, il n'a pas ses papiers. C'est un bon arrangement, je peux pas nier, mais même, je le déteste. « Mais t'es cinglée, je t'ai rien dit et tu t'excites comme une vieille hystérique complètement sénile. » Je tourne la tête vers lui et lui lance un regard noir. Plus sérieusement, s'il se la ferme pas, je le frappe. Il vient de me traiter de folle, mais je l'emmerde à ce con. Surement que je l'énerve, surtout avec mon caractère de merde, la façon que j'ai de dire des gros mots pratiquement toute la journée, surtout à l'appart. La façon que j'ai de lui foutre des coups dans l'épaule ou des baffes quand il m'énerve vraiment, mais il rechigne pas. Il réagit pas, il me lance juste un regard noir qui veut dire que si j'étais un mec, il m'aurait pété la gueule, mais je suis une fille... en fait, avant, je tapais pas mon père – fallait être suicidaire pour le faire –, mais ça l'empêchait pas lui de me foutre des coups. Alors, je sais, parfois, que je lui fous un coup, pendant une seconde, j'm'imagine qu'il pourrait peut-être me le rendre et ça me fout les jetons pendant un instant. Mais je vois dans son regard qu'il le fera pas, mais que Doux Jésus, parfois il aimerait bien, seulement, ça a pas l'air d'être dans ses principes. Ça lui fait au moins une qualité parmi tous ses défauts. « Je t'emmerde, Connard ! Même quand je vois ta tronche et que tu fais rien, tu m'énerves. Et puis de toute façon, j'ai raison, t'es chiant et con, c'est un fait, vis avec. » Il soupire pendant un long moment, surement parce qu'il est blasé, que je le fais chier, mais qu'il a pas envie de me répondre, parce qu'il sait que quand je suis énervée comme ça, je trouverai toujours un argument, même quand c'est pas un argument fondé. En fait je suis une connasse, mais si ça le fait chier, fallait qu'il réfléchisse avant de me faire la proposition à moi.
Franchement, je sais pas comment je fais pour me retenir de lui gueuler dessus à chaque fois que je le croise, surement parce que j'évite complètement de me retrouver dans la même pièce que lui, parce que je sais parfaitement que sinon, je tiendrais pas. Il m'a parlé, lui, mais je lui ai pas répondu. En fait, je lui fais la gueule depuis qu'il est venu sous la douche, alors que j'étais dedans et qu'il m'a baisé dedans comme si c'était normal. Non, mais, connard, ça se fait pas. Tu peux pas venir sous MA douche pour faire ça, même pas si je t'ai gueulé dessus comme pas possible. C'est une mauvaise raison et même lui, je suis persuadée qu'il le sait. Quoi que non, lui, il a aucune morale. C'est un con, insupportable et débile. Je pourrais dire ça toute la journée non-stop. Mais bon. Je compte pas passer ma nuit à penser à toutes les insultes que j'ai pas pu lui dire aujourd'hui. En fait, je compte pas lui reparler de sitôt, parce qu'il ne mérite strictement pas mon attention. Et genre si je pouvais le buter tout de suite, je me demande si je ne le ferais pas. Genre l'étouffer avec du dissolvant dans son lit. Ma couverture se soulève derrière moi et bordel, les fantômes attaquent ou quoi ? Non, malheureusement, c'est pas les fantômes qui attaquent, pas avec ce parfum-là. Deux options : soit je le castre, soit je le frappe à mort. Je choisis l'option de l'ignorer, de toute façon, il peut rien me faire, parce que sinon, je le frappe, vraiment. Il passe ses mains sous mon haut et je l'arrête avant qu'il atteigne ma poitrine. Parce que je suis en pyjama, merde et même si j'étais habillée normalement d'ailleurs. « Barre-toi, merde ! » que je lui dis avec agressivité. Il enfonce sa tête dans mon cou et non, je peux lui assurer que ça ne marchera pas. Mais alors là, vraiment pas. Il pose des baisers dans mon cou, avant de me retourner subitement de façon à ce que je me retrouve face à lui et à son sourire de connard. « Tu comprends pas ce que je te dis ? Barre-toi avant que... » Il rigole, me coupant la parole pour me balancer sur un ton moqueur : « Avant que quoi ? Tu penses vraiment que tu me fais peur ? Tu mesures 1 mètre 57, sérieusement, Kelsey... » Et vlan. Une baffe dans ta tronche, parce que merde, je lui permets pas de critiquer ma taille. C'est pas parce que je suis petite que je tape pas fort et que je suis pas capable de l'emmerder jusqu'à ce qu'il en ait tellement ras le cul qu'il se suicide. Il pousse un long soupir et me lance un regard méchant. En fait, je sais pas, peut-être que pour une fois, j'aurais dû me retenir. Parce qu'on est dans mon lit, que je sais que ça l'énerve quand je lui fous des baffes, bon, c'est clair que c'est pas la première, mais déjà dés le départ, ça se voyait qu'il était motivé pour faire autre chose que de parler du beau temps qu'il fera demain après-midi. Et la dernière fois dans la douche, je lui ai foutu des coups aussi pour qu'il s'en aille, mais y a un moment où j'ai arrêté, parce que... ouais, non, je dirais pas pourquoi. Il m'embrasse en posant sa main sur ma nuque et je lève mon bras pour lui mettre une autre baffe pour qu'il dégage de mon lit, mais il arrête mon bras au vol et le tient dans son autre main avant de passer celle-là dans ma culotte de s'amuser à caresser mon intimité. Je décontracte mon bras qu'il relâche tout de suite, alors que je ferme les yeux et que je penche la tête en arrière. Nom de Dieu, je le déteste encore plus en ce moment. C'est injuste de faire des trucs comme ça, je veux dire, bordel de merde, ça se fait pas. « C'est bon, t'es calmée ? » qu'il me demande avec un grand sourire sur le visage et sa main qui va de plus en plus vite. Je lui foutrais bien un coup dans le torse, mais j'ai pas l'énergie pour ça. « Ta gueule, Connard ! » que je lui dis, alors que ça sonne plus comme un ordre qu'autre chose. Je l'embrasse en passant ma main dans ses cheveux, lui mordant la lèvre inférieure quand il retire sa main. Il enlève mon short et je lui vire son caleçon à l'aide de ma main libre. Il sourit comme un enfoiré qui a eu ce qu'il voulait. Du coup, je lui ai parlé et mes plans de l'ignorer pendant encore des années viennent de tomber à l'eau, surtout en ce moment où je viens de me retenir de pousser un cri alors qu'il vient d'entrer en moi. Je jure devant Dieu que je lui ferais regretter ça quand... demain soir ? Ouais, je me vengerai à ce moment-là pour sur !
REMEMBERhope. • Age : 17 ans.• Commentaire : AHAHAHAHAH • Présence : tous les jours • Code : Ok par le Boss
Dernière édition par Kelsey Whitefield le Mar 7 Juin - 18:13, édité 13 fois |
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