Boaz A. Dominguez
Messages : 69 Date d'inscription : 23/05/2011
|  Sujet: BOAZ ALVARO DOMINGUEZ - Faut que je trouve :gla: Jeu 26 Mai - 1:26 | |
| BOAZ ALVARO DOMINGUEZ | • Date de naissance : 16 août
• Etat civil: Célibataire
• Emploi: Etudiant
• Avatar: Paul Wesley |
BOAZ ALVARO DOMINGUEZ en quelques mots : Fidèle • Manipulateur • Déterminé • Mesquin • Autonome • Arrogant • Séducteur • Caractériel • Direct • Peur de l'engagement • Franc • Pervers • Bon menteur • Prétencieux |
Répondre brièvement.
QUE PENSEZ VOUS DE L'AMBIANCE DES RÉSIDENCES ? Ca claque. J'aime parce qu'on est au courant de tout ce qu'il se passe dans la résidence et je suis un gros curieux et une grande commère ! J'aime me glisser dans l'intimité des gens et là, c'est juste le meilleur moyen pour le faire. Puis, la coloc, ça gère.
POURQUOI AVOIR CHOISI LES STUDIOS AINSWORTH ? Déjà, les F5, chaud à trouver. On voulait être tous les 4 ensemble et on a trouvé les studios Ainsworth, qui avaient l'air idéal. Piscine, barbec, tout ça, on peut pas demander mieux pour des étudiants, surtout à un prix comme ça !
VOUS ÊTES PLUTÔT DEAN, KELLY OU MONROE ? Dean. Allez savoir pourquoi, mais c'est celle qui me tentait le plus. James Dean à la classe, et les autres, c'est des nanas, donc c'est mort !
VOTRE VOISIN IDÉAL ? Quelqu'un qui a énormément de secrets ! Un vrai Sherlock Holmes, j'aime découvrir ce que cache les gens. C'est un passe temps et quelqu'un qui a plein de choses à cacher, ça m'amuse !
ET LE TAPAGE NOCTURNE ? POUR OU CONTRE ? Bah pour, vu que c'est nous qui le faisons. 4 étudiants dans un grand appart, avec une piscine pas loin, j'peux vous assurer que ça déménage ! Et je parle pas que de l'ambiance, vu que les voisins en ont tellement marre de nous qu'ils dégagent.
UN MOT POUR VOS NOUVEAUX VOISINS ? Oui, c'est moi que vous avez tous vu dans la piscine à poil, l'autre soir !
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BOAZ'S STORY PSYCHOLOGUE : « Tu comptes dire quelque chose ? »
S’il pensait ça, il y croyait dur comme fer. J’avais vraiment pas envie de dire quoi que ce soit là. Déjà que je lui avais fait le plaisir de me déplacer jusqu’à son bureau, qu’il ne s’attende pas à ce que j’ouvre la bouche. C’était une histoire bidon, encore ! S’il devait me faire venir à chaque fois que j’envoyais un coup de poing, on en finirait plus ! Ou alors, c’était l’accumulation, peut être. Néanmoins, j’étais assis sur le gros fauteuil rouge du bureau, les bras croisés contre ma poitrine, et les pieds sur le bois froid dans lequel la table était bâtie. Je ne lui offrais même pas un regard. A mon goût, il n’en méritait pas un, de toute manière, et la fenêtre était bien plus intéressante, étant donné qu’elle me donnait une vue sur ce qu’il se passait à l’extérieur. Les élèves se baladaient en riant, discutaient, mangeaient, lisaient, s’amusaient, s’embrassaient. Et moi, j’étais coincé dans ce trou à écouter le silence se faire couper par la voix abominable du vieux psy. Génial, hein ?
PSYCHOLOGUE : « Tu sais, Boaz, que si … »
Je le coupai, instinctivement. Sa voix s’était complètement arrêtée quand je pris la parole, comme si quelqu’un de très important, ou un muet, venait de prononcer un mot. Ce fût magique. Il ferma son clapet, il s’arrêta brusquement, et une fois ma phrase finit, je me sentais mieux de retrouver le silence paisible qui régnait dans cet endroit avant qu’il commence toutes ses questions débiles.
BOAZ : « C’est M. Dominguez ! »
Le ton que j’avais utilisé était très froid, un timbre de voix que j’affectionnais quand j’avais envie qu’on m’écoute. Et là, ça avait marché. Il avait enfin fermé son clapet. Portant rapidement mon regard sur lui, on aurait dit qu’il était constipé, et à la fois, qu’il avait vu un fantôme. Sûrement parce qu’il n’était pas habitué à ce que je parle quand j’étais coincé dans son bureau. Enfin, je reportai mon regard vers l’extérieur, alors que l’autre abruti sortait de ses pensées et se levait de son siège. Il fit quelques pas vers moi, et poussa mes pieds vers le sol, ceux-ci retombant contre le carrelage en un grand bruit sourd. Manquant de me faire tomber de la chaise, je regardais une nouvelle fois vers lui, mais cette fois-ci, d’une manière plus noire que tout à l’heure. Pour qui il se prenait, celui-là ? J’étais prêt à me lever pour lui en coller une, avant de réfléchir et de me dire que là, ça allait être une autre affaire. Ce n’était pas juste un poing à un simple élève, mais bien à un membre du staff de l’école, et je risquais bien plus qu’un petit séjour dans le bureau du psy. Alors, je renouvelais un coup d’œil dehors, tentant de me calmer.
PSYCHOLOGUE : « Ecoutez, va falloir que ça cesse, toute cette violence à l’intérieur de l’univ… »
BOAZ : « Sinon quoi ? », dis-je en le coupant.
PSYCHOLOGUE : « On sera obligé de vous renvoyer. »
BOAZ : « LOL ! »
Je ne pus m’empêcher de m’esclaffer, avant de me lever de ma chaise pour me diriger vers la porte. Je n’avais rien à faire ici, je ne comptais ni lui expliquer pourquoi j’avais mis mon poing dans la gueule d’un trou du cul, ni m’éterniser dans ce trou à rats alors que j’avais bien d’autres choses à faire bien plus intéressantes. Lui me regardait d’un air interrogateur, se demandant ce que je faisais.
BOAZ : « J’vais vous expliquer un truc Mr … Mr Jepourraismerappelerdevotrenommaisjeportetellementpasd’importanceàvotre
personnequejemefousdesavoirvotrenom. Je vais pas être renvoyé. Et vous savez pourquoi ? Parce que mon père possède aujourd’hui ce qui sert de logement à ce qui me sert de proviseur. Ainsi que le sale bâtiment miteux où vous habitez, sans compter le nombre de personnel ici qui est logé par mon père. Vous avez qu’à me renvoyer. Mais attendez vous à devoir vivre dans la rue ou dans une ville complètement à chier qui entoure la ville, parce que vous trouverez nulle part où habiter en ville. Sur ce, je vous souhaite une bonne journée, et vous passerez le bonjour à Karen, votre femme. Super mignonne la photo sur le bureau. »
7 ans déjà que je suis à Santa Clarita. Et 5 ans que je maitrise l’anglais et la manière de faire chanter les gens ici.
------------------- BOAZ : « Alors, on fête quoi ce soir ? »
Dans la cour de la résidence, au bord de la piscine et près du barbecue, plusieurs résidents étaient regroupés autour de deux bouteilles de champagne. Tous en train de célébrer une occasion encore inconnue, je m’avançais vers eux en compagnie d’Adam, mon meilleur ami, avec qui j’avais passé toute la journée. Tant pis pour les cours, on avait mieux à faire lui et moi. De toute manière, il était en repos, donc j’allais pas manquer cette occasion d’aller faire le con en sa compagnie. Et puis, le prof de socio, je l’aimais pas, donc comme ça, c’était réglé. Arrivant au niveau du groupe, je commençais par voler la coupe de champagne que tenait Priestly, avant de saluer tout le monde.
SHANYA : « Nos un an avec Cayden ! »
Bien qu’elle affichait un grand sourire, je pouvais lire dans le regard de ma colocataire un peu de panique. Un an, bien trop long pour elle, la connaissant. Ca ne lui ressemblait en rien, ayant été habituée à se contenter de quelques rendez-vous avec des hommes sans même un seul baiser avant de rencontrer Cayden. Au final, j’avais réussi à les caser, ces deux-là, et même si je connaissais pas tellement le blondinet, j’avais confiance. Je savais que c’était pas un nouveau connard qui allait se foutre de sa gueule. J’avais eu raison, comme d’hab.
BOAZ : « Bah à la vôtre ! »
Je bus le contenu de la coupe d’une traite, avant de continuer les salutations, finissant par une de mes amies d’enfance : Synisha. Je déposai un baiser sur ses lèvres, comme d’habitude devant tout le monde. Ensemble ? Non, ça remontait à bien longtemps, ça faisait 5 ans que c’était finit. Un an, ça avait duré. Ma plus longue relation, et la seule personne qui avait réussi à trouver une place dans mon cœur. Les nanas, j’les laissais pas rentrer là-dedans. Ça sert à rien de tomber amoureux, à part d’avoir mal au final. Et ressentir des trucs, c’est pas mon domaine. Du coup, aujourd’hui, je feinte. Elle me l’a demandé, et je file un coup de main, histoire qu’elle puisse garder sa gamine. Maintenant, je me tournais vers sa sœur jumelle, qui tenait ma soi-disant fille dans les bras.
BOAZ : « J’ai le droit d’avoir ma fille ou pas ? »
NILAJA : « C’est mort ! Tu pues le champagne maintenant, et j’ai pas eu un vrai bonjour, j’suis jalouse. »
BOAZ : « T’es chiante. »
Au final, elle allait avoir ce qu’elle voulait. Je roulais les yeux, avant de déposer un simple baiser sur sa joue, histoire qu’elle ne continue pas à me casser les pieds pendant une heure pour que je lui fasse une marque d’affection. Et puis, après tout, un père, c’est censé faire tout pour avoir sa gosse dans les bras nan ? Du coup, je jouais le jeu, et Nilaja savait en profiter pour avoir tout ce qu’elle voulait. Ah, les joies de la résidence et du voisinage.
TINO/TONE • Age: 19 ans • Commentaire: J'en reviens pas de jouer Paul le macaque  • Présence: Souvent XD• Code: TANT QUE TU NAURAS PAS TROUVER LE CODE JE TINTERDIS DE JOUER
Dernière édition par Boaz A. Dominguez le Jeu 2 Juin - 22:00, édité 4 fois |
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Nilaja B. Pomare
Avatar : Ashley Greene ♥ Messages : 87 Date d'inscription : 27/05/2011 Age : 23 ans I am : Une adorable princesse qui adore tout ce qui touche à l'art : peinture, sculpture, photographie ...
Nilaja est une princesse, un brin capricieuse il faut l'avouer, mais terriblement attachante. De plus, avec elle vous êtes sûr de passer un bon moment, de bien vous amuser sans vous prendre la tête.
Attention toutefois ... la princesse a son petit caractère, c'est une rebelle.
| | Sujet: Re: BOAZ ALVARO DOMINGUEZ - Faut que je trouve :gla: Mar 31 Mai - 9:42 | |
| Bon allez je suis arrivée après mais je le dis quand même  Bienvenue mon soumis  |
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